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Et pendant ce temps là,
à Oüi Fm

Le studio accueille la dernière tranche animée de l'antenne. C'est LMDMF qui s'occupe de la squatter.

 

 

Départ 23h00, avec ces transitions qui ont fait rêver toute une génération d'auditeurs entre les animateurs précédents et l'équipe. Mélanie Bauer, Miguel Derennes puis Thomas Caussé ont été les entremetteurs de fin de soirée. Ceci n'est qu'un détail, mais il a forgé des références dans l'univers Forêt Magique.
C'est pendant les cinq dernières minutes de ces programmes que les auditeurs présents à la radio prenaient possession du fond du studio.

Vivre une émission en studio, c'était possible pendant les trois saisons historiques de l'émissions. Avec plus ou moins d'arrangements, selon la patience de Latex et l'état conciliant de la direction. Deux choses indispensables pour venir au studio : savoir se faire petit, et connaitre le code d'entrée du passage du Cheval Blanc

Le mercredi, jour de l'émission culturelle, pas de public. Seules personnes autorisées, une ou deux filles fidèles depuis les débuts et quelques rares privilégiés, amis ou connaissances, tapis dans un coin du studio de peur de trop déranger. Ces soir là, Fred et Latex sont en tête à tête ; accompagnés de la "famille" (Guillaume Denis et Jean-Baptiste Martin, un cercle restreint). Pas de fioriture, les sketchs sont fait entre amis, l'ambiance est calme, détendue. Pas d'éclat de voix et de pagaille.

Les horaires cette année :

Les lundi, mardi et vendredi, tout le monde se retrouve. L'équipe au complet pour une heure d'aventure.

Mercredi, laboratoire à sketchs pour Fred, Guillaume, JB et parfois Marie. Un peu éloigné de la Forêt Magique.

Jeudi, les gars entre eux.

Contraste saisissant avec les soirées Forêt Magique. Pendant trois ans, le public fut plus ou moins toléré dans les studios. Moins que plus à partir du moment où le studio faillit brûler d'un feu de poubelle. Interdiction pure et simple d'abord. Après la direction imposa un jeu téléphonique pour limiter les places. Pas d'illusions, les auditeurs revinrent très vite en nombre considérable. Parfois une quarantaine de personnes s'entassaient dans le studio, avec parmi eux des "cas sociaux" dont tout le monde se souvient mais qu'il vaut mieux oublier. Un public tellement acquis aux références de l'émission qu'il amenait bouteilles de Jack Da' et drogues à fumer à l'équipe en offrande.

Un des moments forts : la dernière en studio, la veille de La Cigale. Un studio bondé jusqu'au couloir. Une fumée impressionnante, un chahut incroyable. Plus de règles, l'émission ressemblait à un vaste foutoir. Un des réalisateurs de l'émission, potache jusqu'au bout, se déshabilla sur la table du studio en pleine passasse.Plus généralement, les vendredis soir accueillaient les auditeurs dans le grand studio. L'assiduité pouvait être payante. Un soir, Léon-Tom n'était pas là, un auditeur le remplaça au pied levé pour toute une émission !

Depuis, un vigile gère les entrées des locaux. Il faut être sur la liste pour rentrer désormais.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Monsieur Meuble explique comment l'équipe prépare l'émission le soir.